La Chambre des Secrets

Las enquêtes pour reperer la fille sont nulles. Percy pense que l’ont donne ce cas seul pour se debarraser de lui, peut-être que Sammantha Fix lui a mit une piège.

Autre samedi heureux, Ginny et Richard parcourent près du lac –il est leur endroit- ils font tout cette chose que une couple fait, s’embrassent, parcourent, mangent près du lac. Peu à peu Richard gagne la confiance d’elle. Et chaque samedi il voit que Ginny n’est pas cette Ginny d’un moche dossier. Ginny est douce. Il veut endormir à côte d’elle, mais il a peur d’y demander parce qu’il ne veut pas que Ginny échappe, il sait que Ginny est très delicate et il veut avoir la patience. Toutes les autres filles auraient voulu se coucher avec lui d’imédiat pour l’amarrer, il a obtenu se coucher avec elles c’est facile, il a peur d’y demander Ginny parce qu’il ne veut pas qu’elle échappe, il aime quand Ginny tremble dans un embrasse. Maintenent qu’il a attiendré son but de sortir avec la fille qui chante dans l’auberge il n’est pas ennuie, il veut se rester avec elle, il veut la proteger c’est tout, il veut être le monde de Ginny c’est tout. Se coucher ? C’est facile, il veut se coucher avec elle et la voir heureuse toute sa vie, une vie que sera à côte de lui. Aujourd’hui il ne le demandera pas se coucher avec lui parce qu’il veut avoir la patience.

Arthur Weasley parcoure les couloirs du ministère quand la voix du Sean Presley lui attire « Oué, nous avons trouvé la dague du Campbell…Non, no, la fille qui est enceinte de l’enfant élu, on soupçons qu’elle est la fille Chang…Non..non.

Arthur Weasley essaie ne faire pas un bruit pour n’être pas en evidence. « L’enfant élu ? », est-ce qu’il avait dit Cromwell, Capbell, Champbell ? »…

Arthur devra rapporter ça……. »L’enfant élu, Harry et… »

Deux jours après un hibou arrive.
AW,
Campbell, la dague de Campbell c’est un élément mauvais. Cette dague été fait avec les cloues d’un élément de torture que s’appelle la dame du fer, cette dague garde tant de douleur dedans lui que quand qq’un l’utilise contre autre la personne qui est touche pour la dague souffrira presque égal que si il se trouve dedans la dame du fer. Cette dague était perdu, nous savons qu’ils l’ont trouvé. Peut-être qu’ils veulent l’utiliser contre H.
Si il te plaît ouvre bien les yeux.
OP, D.



Arthur Weasley a fait suivre à Sean Presley, parfois lui suive Tonks ou un des jumeaux, parfois lui-même.

Gabriel Capmbell, sorcièr noir (1789-1830) il était un maître dans l’art d’ensorceler objets. Une vie pleine d’actes méchants, l’argent, le pouvoir et une vie remplie d’émotion était tout pour lui. Il aimait les femmes, les hommes et les tortures. Un de ses grandes créations était une dague, un simple et rustique dague qui garde le pouvoir de donner plus douleur à celui qui était touche pour elle, il appellé à sa dague « ma petite chatte ». Autres des ses grandes création était un cadre en argent maudit, ce cadre a le pouvoir de tuer à celui qui il garde dans un tableau ou photo maintenant, si qq’un place une photo dedans ce cadre la personne qui se trouve dans la photo aura une mort horrible.

Dans la Bibliothéque du Poudlard la profeseur Macgonagall sort deux livres, puis se dressa très sérieuse à la Direction. »fraises en crème » et imediatement une porte s’ouvre et laisse voir les marches que dressant à la Direction. Dedans le directeur Albous Dumbledor l’attende. La profeseur Macgonagall plaça les livres dans le bureau du Dumbledor. »L’ange de Cordoba et la vieille femme » et « Canon ». Albous Dumbledor prit « L’ange… »

-Bien profeseur, nous avons un problème.

-Tout le monde sait que la petite amie d’Harry est Luna Lovewood.

-Mais le livre est clair « la femme qu’il aime.. » Il n’aime pas à Miss Lovewood. Le grand amour de lui est Miss Cho Chang.

-Harry et Cho ont eut.. ?

-Peut-être

-Alors Miss Chang est en peril.

-Et Harry.

-Il y a une chose que j’ai jamais comprit de cet livre, c’est qui sera la vieille femme ?

-Profeseur vous n’êtes pas jeune,pardonne-moi, peut-être quelconque.

-Qu’est-ce que nous pouvons faire ?

-Cet livre était dicté la plupart pour l’ange du Dublin, il y a tant de temps que j’eut la chance de la voir et personne sait beaucoup sur l’ange du Cordoba et l’autre ange. Elle m’avait averti, je me souvien des ses paroles « Vous aimez proteger à l’enfant, n’est pas ? Je vous evoyerai un émissaire vous le devrez dire mon nom complet et elle vous racontera tout, elle saura mon nom complet, mon nom c’est la cléf »

-Je ne comprede pas

-Il faut peu pour que l’émissaire de l’ange du Dublin arrive.

-La fille Chang ?

-Peut-être.







La malheure a un pas devant eux, le lendemain la neuvelle que Cho Chang a était assassiné dans le quai qui emmena à Londres a couru dans tout Poudlard. Harry est surveille pour la profeseur Macgonagall. Le rapport est : « Il est si ému pour la neuvelle, cependant si la fille Chang était enceint de lui il semble qu’il ne le savait pas »

Dans le ministère Arthur Weasley rapport : Elle n’était pas enceinte.

Alors qui ? Se demande Albous Dumbledor Est-ce que sera la fille Lovewood ? Il la fait enquêter sous le prétexte d’avoir un monttre de sang de les élèves ils ont obtenu un peu de sang de touts les élèves entre eux de Luna Lovewood, mais l’enquête est nulle, elle n’est pas enceinte. Peut-être que la fille qu’il aime ne soit pas enceinte encore alors le peril est proche pour Luna toutefois qu’il y a une chance. Ils sont en garde pour proteger à la fille Lovewood.

Un rapport de la vie amoureuse de Harry lui donne Arthur Weasley et Macgonagall
1
Dans cet été Harry s’est rendre chez nous si tard, la plupart de temps était à cause de Luna, ce que m’ont dit mes fils est qu’il y a presque six mois que Harry et Luna ont une vie en commune. Ce que j’ai pu savoir sur la fille Chang est qu’elle avait était l’amour platonique d’Harry cependant pas en concret. Ron m’a dit qu’il pense que Harry et Luna ont fini son relation ou qu’ils ont eut un problème puis de reentrer à Poudlard, mais que Harry est tranquil pour ça, Ron pense que Harry n’avait pas atteidre aimer à Luna Lovewood. Ainsi que nous somme en zero.

2
Un de cancan des couloirs est que Harry et Luna ont fini sont relation ou qu’ils sont fâche un contre l’autre, mais ça ne veut dire rien parce que Ils peuvent se rencontrer encore et plus fort que avant, alors la fille Lovewood bien peut être la fille que nous recherchons. Personne à Poudlard sait qu’il soit interese pour une autre. Tandis qu’ont dit qu’il amour qu’il avait vecu pour la fille Chang était plus fort.



Dans Poudlard la fille Lovewood n’est pas en péril cependant il s’approche congé Nöel, ils devront la garder ou surveille bien Harry pour savoir s’il y a une autre fille, cependant si les mangemorts sont dans la même recherche la fille Lovewood est en danger.



Est-que le livre est claire ? Bon il dit la femme qu’il aime, et si c’est seul sa couple, la fille de la maison de Serdaigle est en péril. Albous le demande à la profeseur Macgonagall un raport sur la fille Weasley ils ont été joins cet été.
La profeseur Macgonagall lui a dit que Harry ne peut pas avoir rien avec la fille Weasley aprce qu’elle l’avait rendu visites à Ginny dans son travail et Harry ne sait rien d’elle, si bien Macgonagall lui a dit que Ginny si est amoureuse de Harry, cependant Harry l’ignore. Pourtant la fille Weasley n’est pas la fille qu’ils recherchent et Macgonagall ajoute.

-C’est un dommage que Harry ne sait pas sur les sentiments de Ginny, je ne sait pas si vous savez qu’elle chante dans une auberge et que toute les chanson qu’elle chante sont dedié à Harry et il ne le sait pas. Je me sent mauvais pour dire ça mais »il est bon que Harry ne soit pas la couple de Ginny parce que sinon elle serait en peril maintenent et elle est une fille si jolie, c’est n’est pas que je n’aime à la fille Lovewood mais j’aime tant Ginny que …
-Je vous comprit, si Harry ne l’a pas touché ça c’est bon parce que la fille qui soit touche pour lui aura une marque de mort sur sa tête n’est pas ?
-Oui.

La pierre de Saint George, petite ville à 1 h de Londres. La plupart de gens qui habitent là-bas sont moldus, cependant une couple des sorcières qui ont sa maison hors de la petite ville sont enquêtes cette matin pour Percy Weasley.

Une maison en briques rouges d’une seule étage, la porte de cet endroit est en bois et garde un écu du famille –une abeille sur une couronne- elle est la maison Seamons dont habitent Danielle Hansons et Donald Saemons, ils sont deux sorcièrs, tout purs le deux. On peut dire que chaqu’un d’eux a une âge de 100 ans ou plus. Percy Weasley frappa la porte, il attende un minute avant que qq’un ouvra la porte, celui qui l’ouvre est monsieur Donald. Un homme vieil, qui porte une chemise gris et pantalons bruns. Quand monsieur Donal ouvre il s’apperçoi que celui qui est devant lui c’est un sorcière aussi.

-Oui, monsieur.dit monsieur Donald

-Bon jour, monsieur..Donald Seamons..n’est pas ? dit Percy.

-Oui c’est moi.

-Monsieur Donald il y a presque sept mois qu’une jeune fille a était kidnappe de l’expres du Poudlard. Cet expres comme vous savez parcoure près d’ici et on voudrons savoir si vous avez vu qq’chose il y a sept mois. Percy sait bien que l’homme est très vieil alors l’information sera très faible, mais il doit l’enquêter comme à tout les autres.

-Comme deux silhouettes sur le toit de l’expres.

-Comment ? dit Percy que ne peut pas croire ce qu’il vient de enttendrer.

-Oui monsieur il y sept mois que l’expres a parcouru près d’ici comme d’habitude et j’ai vu deux silhouettes sur le toit de l’expres.

-est-ce que vous me pourriez raconter tout monsieur.

-Oui monsieur, s’il vous plaît entre à nous maison.

La maison était un endroit ombre mais agréable, remplie de petits objets en vitrines et sur tout endroit, aussi que chaque mueble port une servillet tissu. L’homme lui indique ou se assiser. Percy weasley se plaça dans un canape grand chatain. L’homme vieil se plaça devant lui.

-Bon si vous pourriez me dire monsieur Seamons.

- Bon il était près de 15 :00 quand le bruit de l’expres m’a dit qu’elle était heure de faire sortir à mon chien « bus » alors comme d’habitude à cettes heures je lui sortais, dans le jardin mon regard s’est perdu dans le cadre d’un expres qui parcourait près d’ici, mais il y avait une chose pas normal, deux silhouettes sur le toit, une d’eux une fille, vous pourriez me dire comment je peux savoir qu’elle était une fille, bon elle ne porte pas de pantalons ,puis qu’elle avait ses jambes nues pourtant je medit qu’elle porté une robe que le vent levait. Et l’autre silhouette était un jeun homme, je dit qu’il était un jeun homme pour la force de lui, il gardait bien de la fille, si vouz comtez que tout le deux étaient sur un toit d’un expres en movement, alors il pour garder d’elle il devrait avoir une force n’est pas ?

-Vous avez vu un peu de cet homme

-Il était haut, euh…. Ou il était blond ou il était rousse parce que le rayons de soleil qui tombaient sur lui donent l’air d’un incent. Je ne peux vous dire s’il était blond ou rousse monsieur, puis les deux silhouettes ont sorti dans un balai, tout le deux dans le même balai et c’est tout monsieur.

-Le deux silhouettes dans le même balais ?

-Oué monsieur.


Bon il n’est pas beaucoup cependant est plus que rien, alors la fille Parkinson a sortir de l’expres pour son propre pied. Elle n’était pas kidnappe, elle était d’accord avec celui qui l’a aidé.

Le congé Nöel, Ginny avait eut peur de que Harry serait ce congé chez elle, mais le profeseur Dumbledor lui a interdit sorti du Poudlard pourtant ce conge seul les Weasley seront chez elle, seul eux.

Fred et george ont acheté un pin Nöel et Ron, Bill et Charlie lui rangent. Ginny fait des bisquittes de fruits secs qui l’ont appri faire les elfs domestiques du Châteauloin, la maison Weasley se remplie de l’odeur, coleur et chaleur de le temps Nöel.

Peu à peu Arthur Weasley se donne la chance de vivre si bien Molly n’est pas à côte de lui en corps, elle est si près en son cœur et sa lui donne la force pour continuer. Ses enfant ont grandi, il leur regarde comme rangent la maison et sont proches uns des autres, la maison se remplie de rires, de la rire de ses enfants. Il a acheté des châtaignes dans chemin traverse et un bon coup des confitures pour ce temps. Il n’avait pas pensé que Charlie les pourrait rendrer visite cependant il est ici parce que Bill, les jumeaux, Ron et Ginny etaient sûrs de s’y rendrer.

L’été dernière les jumeaux ont joué une blague mauvais dont il l’ont fait croire à son père que Ginny et Neville étaient couple et ce congé Arthur Weasley veut avoir la chance de parler avec Neville pour donner une date pour une prochaine noce entre Ginny et lui. Arthur pense que congé Nöel c’est un temps joli pour fixer une date de noce. Les jumeaux le savent et ils ne savent pas comme casser cet entortillement. Et pire le prochaine 21 décembre sera la noce de Neville et Pansy. Ginny est la plus implique en cet entortillement et elle a une idée.


Ce le deuxième congé Nöel que Percy Weasley est tout seul.

C’est la première fois que Adonají Méndez ne se rende pas chez elle pour congé Nöel. Elle a peur que son père la retende là-bas. Et si elle se resta chez elle tout le plan d’Agnes et Estefania se cassera, elle veut aider du cœur à Estefania pourtant elle a choisi se rester malgré la douleur de son père.

21 décembre 18:00, Ron, Ginny, Bill, Charlie et les jumeaux sont bien habilles, on dirait qu’ils se rendront à une fête. Ginny est assise dans une siège près de la table à manger, Ron est près de la cheminée, Fred est à côte de Ginny tandis George, Bill et Charlie sont à la cuisine, soudain le bruit de la porte et entra Arthur Weasley qui ferma vite la porte pour ne laisser pas entrer le vent froid, la façon en que ses enfants sont habilles l’attire ainsi que les demande.

-Est-ce que vous serez à une fête cette soir ? Parce que le temps c’est mauvais.

-Oué papa, reponde Ron, seul que nous voudrions que…

-Que tu nous accompagnes, ajouta vite George.

-Que je vous accompagne ?

-Oué

-De qu’il s’agit ?

-C’est une sourprise, lui dit Ginny et ajoute, ne te fâchera pas avec nous ?

-Pour quoi est-ce que je me pourrai fâcher.

-Parce que l’été dernière Fred et moi avons joué un mauvais blague à Luna et sans savoir à toi.

-De que tu parles George ?

-L’été dernière Fred et moi avons voulu jouer une blague à Luna. Je lui ai dit que Neville était le petit ami de Ginny..

-Alors vous… interropre Arthur.

-Papa, est que nous nous avons fâche parce qu’elle ne s’avait jamais intéressé en la santé de Ginny et un bon jour elle arrive chez nous de la main de Harry comme une fille gentil et demandant sur Ginny. En ce moment tout était un joue pour laisser claire que Ginny ne était pas seule..et puis tu nous avais cru et nous ne savions pas comme ranger tout et puis cet entortillement s’est tourné contre nous .

-Et ?

-Et que Neville..

-Neville ? Pour quoi ce garçon a joué avec mes sentiments ?

-Il n’a pas joué, non, il aime Ginny mais comme un ami un vrais ami et il était aussi fâche contre Luna ainsi qu’il a voulu le jouer une blague à elle cependant il a su puis tout ce problème me aucun de nous savions comme le ranger c’est tout.

-Me ça ne me dit rien sur votre vêtements . Leur dit Arthur qui est gêne pour la blague de ses enfants, il avait cru que Neville Londuba était le petit ami de sa fille et il aime à ce garçon parce qu’il sait que Neville est un garçon gentil. Arthur s’est saisie de ce clou brûlant parce que Arthur Weasley a peur de laisser à sa fille seule dans le monde, si Molly a parti Arthur sent que le temps pour lui est proche et laisser bien à tout sa famille c’est l’important. Savoir que Neville n’est pas la couple de sa fille le fait sentir mal.
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-Papa ! Tu te rappelles de la disparition de Pansy Parkinson ? La demande de Ginny sorte de ses penses à Arthur.

-Pansy ? Tu as dit Pansy ?

-Oué Papa

-Quelle est la place de Pansy en ce joue ? demande sérieux Arthur.

-Fred et moi…

-Et moi interrompre Ginny

-Et moi ajouta Ron

-moi non, mais je viens de le savoir et je les aiderai, dit Bill

-Moi aussi, dit Charlie

-Bon nous avons aidé Neville à Kidnapper Pansy

-Quoi ????????????

-Papa ..ne te fâche pas ..pour quoi non prendes-toi une siège ? lui dit Bill que sent que son père les assassinera

-Qu’est-ce que vous m’avez dit ?

-Papa, Pansy et Neville attende un bébé.

-Quoi ?

-Oué papa, lui dit Ginny. Pansy est enceinte de Neville et comme tout le deux avons eut peur de que ses famille les écartent et pire que la famille de Pansy veuille se debarraser de leur bébé..

-Nous avons voulu les aider.

-Alors ça grande idée était kidnapper à la fille Parkinson ? leur dit Arthur qui change de fâche à inquiet pour savoir que ses enfants sont délinquantes, et délinquantes que le ministère recherche. Et pire que son propre frère, Percy fait la recherche de ces délinquantes. Commen-t-est-ce que vous… ?

-Papa, papa ! Ne te fâches pas ! Q’est-ce que pouvons nous faire, laisser que les parents de Pansy se debarrasaient du bébé, laisser mourir à ce bébé, les laisser écarter à Pansy et Neville ? Papa il était un impasse.

-tout vous êtes des idiotes !

-Papa aujourd’hui Neville et Pansy se marieront, et il sera légal nous pouvons dire que Neville a reperé Pansy puis des mois et que Pansy pour le remercier se a marié avec lui. Papa que nous pouvons faire dit nous.

-Bon vous parle de la famille de Pansy, mais la famille de Neville, sa grand-mère par exemple ?

-Elle le sait, lui dit Fred. Et elle veut aider à son petit-fils.

-Comment ? Comme-t-est qu’elle le sait ?

-un bon jour Neville a eut le courage pour le avouer ce que se passe.

Ce dernière change tout si la grand-mère de Neville le sait, alors les gamins ne sont pas seuls de tout, cependant reste le problème que le ministère, ils recherchent à les délinquantes qu’ont kidnappé à la fille Parkinson.

-est-ce que vous croyez qu’elle vous aidera si le ministère sache tout ? lui dit Arthur.

-Oui lui disent ses enfants.

-À quelle heure sera la noce ?

-Il faut une heure.

Arthur Weasley aime à ses enfants, il sait qu’ils avaient fait tout pour leur cœurs blancs et bon c’est vrais les parents de Pansy auraient voulu se debarraser de ce bébé, il ne veut pas faire du mal à un bébé, ce bébé c’est le plus innocent de tous alors il accepta les aider, il se taira et si qq’chose dans le ministère tombe près de ses enfants il est là pour aider. Arthur regarde à ses enfant ils sont bon fils, les aidera.
Arthur se enrôla pour sortir à la noce de Neville.


Elle était une noce humble mais remplie de toutes les gens qui aiment à Neville.

La nostalgie de laisser à sa famille le fait mal à Ginny cependant elle veut voir Richard, il y a 15 jours qu’elle ne le voit pas. En tout ces jour elle s’a souvené tant de lui. Il est un garçon doux. Ginny a écrit deux chanson pour lui et elle pense qu’il sera un bon cadeau Nöel.


Château Drummond, Richard Drummond est dans sa Bibliothéque cette année les ventes ont grimpé beaucoup et à sa faveur. Il a devant lui un neuf dossier sur Ginny Weasley dont il a pu savoir que Ginny avait passé tout ce congé chez elle, elle a sorti pour les marches de Nöel avec ses frères, la plupart de temps elle a était dans la boutique de trucs de ses frères, qu’un jour ses frères ont organisé une fête dans sa boutique, Richard pense qu’il s’avait agit d’un acte de type familier puisque presque tout la famille Weasley se trouve là-bas. Le dossier ajouta qu’il semble qu’il a un distanciement entre le père de Ginny et un de ses fils un qui s’appelle Percibal et que cet dernière ne s’est pas rendré à cette fête dans la boutique de trucs, hors de cet événement il n’y avait pas arrivé grande chose. Il faut peu par que Ginny revienne, Ginny toujour Ginny, il ne la peut pas oublier. Mais comme il n’était pas le temps de conaître à sa famille il a choisi attendre, cependant l’attendre le mit nervieux. C’est jeudi, alors demain elle sera encore à l’Ecosse et il la pourra voir.

Vendredi 14 :00, Richard Drummond est nervieux aujourd’hui il vera encore Ginny, il sait qu’elle est encore à l’Ecosse parce que le sorcièr qu’il a mit pour la surveiller lui a dit ça. 17 :00 un boulot de dernière minute, Bof ! Il semble que Richard ne pourra pas voir aujourd’hui à Ginny, il devra attendre à demain. Le temps passe lentement, 18 :00h, 18 :30, 18 :45,….20 :15, 20 :45.. il faut peu pour que Ginny finisse son spectacle Quelle ennuie ! Pour quoi aujourd’hui ? Richard s’attache à finir ce boulot, 22 :50 il finit, mais finit si fâche il a tant de rage pour ce moment mais qu’il peut faire, rien, alors endurer le moment.

23 :53 Richard a dans sa main gauche une verre du vin rouge, son regarde se perdre dans la couleur du vin, il ne veut pas penser, il finira sa verre et se couchera tôt, soudain entra au salon Alain le gardien du Château qui lui sorte de ses pensées.

-Jeun Richard, dans le allée il y a une fille qui demande pour vous.

-Comment ?

-Oui jeun, c’est une fille aux cheveux rouges et que porte une masque, il demande pour vous, je lui ai dit qu’elle devra attendre ou que vienne demain, qu’est que je doit lui dire ? Parce qu’elle ne veut pas s’en aller, elle est là.

-Alain ne soit pas idiot laisse-la entrer ! Non je irai pour elle. Richard ne le peut pas croire Ginny ici, et elle attende hors chez lui, Richard se rangea vite, se jetta un coup d’oeil au miroir et sorte tout à coup pour le ouvrir la grille à Ginny.


L’allée lui semble plus long que le normal, chaque pas il pense qui est plus lent pour l’ouvrir la porte à Ginny, mais Ginny ici ? Quelle joie ! Elle s’est rendré chez lui par son propre pied, et personne pourra faire qu’elle sorte encore, elle se restera à jamais près de lui, si seul l’allée serait plus court. Bon il arrive, c’est vrais Ginny est derrière la grille, Richard ouvre vite et la regard, tout le froid que reine hors chez lui ne le fait aucun mal parce qu’il ne sent pas le froid cependant Ginny est près de se geler. Il remarque ça et l’entraîne vite chez lui.

Ici en Chàteau Drummond Ginny sent un frisson pour le change de froid à chaleur, elle tard presque un minute en parler parce que la beauté du maison Drummond la fait sentir dans autre monde. La voix de Richard l’invite a entrer au salon. Ginny prende un peu d’air et lui dit.

-je ne veux pas te deranger Richard seul que comme je ne savait pas que te donner de cadeau Nöel et c’est vrais qu’un peu tard de Nöel, bon.. j’ai écrit pour toi deux chanson elle sont mes cadeaux Nöel je ne sait pas si tu as le temps ?

Bon Richard a tout le temps du monde pour Ginny, si elle le saurait ? Avant de que Ginny dit qq’chose Richard dit.

-Bien sûr Ginny. Si il te plaît…Richard l’invite a prendre place près de la cheminée.

Ginny ici ! C’est vrais !Si elle saurait qu’elle ne sortira jamais, pensa Richard tandis vide du vin en deux verres, il regarde comme Ginny accorde sa guiter et s’enrôle pour chanter. La fille qui chante dans une auberge a fait deux chanson pour lui, c’est la première fois que qq’un fait une chanson pour lui, mais n’est pas une chanson elles sont deux ! Richard approcha un verre à Ginny puis il s’agenouilla pour l’entendre chanter. Richard est dans un nuage, parfois la voix de Ginny lui attira chez lui et parfois savoir que Ginny est ici lui entraîna à autre monde. Ginny fini de chanter, Richard la regarde longuement et puis l’embrasse. Il ne peut pas attendre plus, ainsi ses mains commencent à se glisser pour les formes de Ginny. Ginny recule mais Richard le donne calme il lui dit.

-Ginny je ne te fairai jamais du mal, Ginny calme-toi, tu es sûre avec moi, tout ira bien. Peu à peu Richard l’emmena au tapis dont ses mains commencent à se glisser bas les vêtements de Ginny. Ginny a peur, mais elle sait bien que Richard ne le faira jamais mal, elle garde la confiance en lui. Elle veut qu’il continue mais elle a peur de ce pensée.

Tout semble une bataille, une guerre dont Ginny sent que Richard gagne, cependant Richard lui aida à qu’elle gagne aussi, Ginny ne savait pas que faire il est son première fois cependant Richard est doux et lui aida à qu’elle gagne aussi à se sentir bien aise.

Les rêves se peuvent toucher.

Richard touche son rêve, il est un rêve merveilleux, Ginny est chez lui et elle ne sortira jamais.


Toute la chance est du côte de Richard Drummond, sa mère Lady Sara à sorti vers les tantes Dorothy et Emmily, Ginny est chez lui, ils sont seuls tout c’est un rêve.

Un samedi dont le monde marche dans une chambre, la chambre de Richard Drummond, dont il lui apprit à gagner dans une guerre, à jouer, à se sentir bien. Ginny se sent bien avec elle-même, changer de fille à femme en bras du Richard. Richard regarde à une Ginny épuise, une Ginny qui garde la confiance en lui. Il l’imagine comme Genever Drummond. Richard se dit par lui-même « Elle oublira touts ses fausse idées qui lui a apprit son père, Richard lui apprira a aimer au seigneur de ténebres, alors tout le deux joins dans un monde neuf »

Le rêve fini Dimanche matin, Ginny ne veut pas sortir chez Richard cependant elle doit se rendre à l’école. Richard est tellement épuise, sa tête est remplie de souvenirs merveilleux et ça se reflex dans sa figure, il sourire, les lèvres chauds de Ginny lui emmenant encore à le monde réel, il se reveille et qu’est qu’il voit, Ginny est habille et prête à sortir, mais pour quoi ? Pour quoi elle veut sortir, il sent comme son cœur batte tout à coup, on peut entendre le cœur de lui, Ginny est devant lui est prête pour s’en aller. Ginny lui dit qu’il est temps de se rendre encore à l’école, il ne veut pas comprendre parce que ça n’est pas juste, il l’a donné tout de lui à elle et elle s’en va. Ginny lui repete qu’elle doit se rendre à l’école. Richard pense qu’elle ne besoin pas se rendre là-bas que ici elle aura de tout pour quoi elle veut parti ?Ginny lui repete qu’elle ne veut pas inquieter à son père, que son père sera triste de savoir qu’elle ne finisse ces études et qu’elle veut les finir pour elle-même, qu’elle aime l’école, mais Richard se regrette comme un enfant consenti et demande à Ginny si elle aime plus l’école que à lui, Ginny ne sait bien que faire elle ne veut pas faire du mal à Richard et malgré le mal humeur de Richard elle se rendra encore à l’école malgré ça le brisse le cœur parce que Richard s’a envolé son cœur et cependant son attitude enfantin Ginny n’est pas fâche contre lui c’est un moment beau, le brisse le cœur voir comme Richard lui donne dos pour ne l’entendre plus. Ginny parte, elle cherchera une façon pour ranger tout. Avant de partir Ginny lui dit »Richard ne me fasse pas ça, je t’emprie… »


Richard est sur son lit, il est fâche comme-t-Ginny le peut faire une chose comme ça ? Est-ce que Ginny ne le comprendre pas ? Le peur de que Ginny parta seule et peut-être que très vexe contre lui le donne peur ainsi qu’il s’enfila une veste longue et parte pour la voir partir et si ce possible la retenir ici, la faire comprendre que Château Drummond est tout pour elle qu’elle ne besoin pas parti. Richard l’atteinde dans la porte l’arrache à lui et l’embrasse, il veut qu’elle se reste, les larmes chaud de Ginny le font comprendre qu’elle ne veut pas parti mais qu’elle sent que se rendre à l’école c’est un devoir, il sent comme Ginny tremble et la laisse parti parce qu’il sait maintenent que Ginny ne veut pas parti Quel Bizarre ! Cependant l’idée que Ginny veut se rester le fait bien à Richard. Ginny, Genever Drummond un jour.

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Les pas de Dona claquent plus fort dans une école presque vide, cette matin la plupart des élèves reentront ici, entre eux Ginny. Hier soir Agnes lui a rendre visite à Dona pour le dire que s’approche le moment en que Ginny devra choisir garder ou non d’Alice et sauver à l’autre fille, si Ginny sauva à l’autre fille, alors ils pourront dire que sont un pas avant, mais si non… elle ne veut pas penser. Aussi lui a dit qu’elle, Dona, est en péril mais que tout eux garderont bien d’elle, qu’il aura moment plus lourds pour elle, moments de tristesse et douleur mais que tous garderont d’elle. Agnes lui emprie tant qui aide à Ginny.

La fille que boite a un cœur blanc et veux les aider.

CLOC, CLOC, CLOC, CLOC, CLOC, CLOC, CLOC, CLOC, CLOC.
Ses pas claquent fort.

Ils sont quince jours en que Dona Méndez ne peut pas dormir bien, presque tout les nuits Agnes les rende visite. Dona a peur, elle a était une fille très protégée ou sur protégée, elle n’a jamais vecu le péril. Le seul péril qu’elle a vecu il était 20 jours avant de venir au monde quand sa mère était attaqué, ce tout le péril qu’elle a vecu. Dans sa tête le doux souvenir des les corbeau.

ATTAQUE À POUDLARD
CROSS-OVER (3EME PART)
Dans l’infirmierie touts les élèves qui ont reçu une blessure se trouvent entre eux se trouve Harry qui saigne de son bras, Colin qui a une blessure important dans sa jambe gauche et tant des autres mais personne se peut empecher de regarder la fille que boite. Cette fille a une blessure qui transpase sa main droite, elle saigne beaucoup. Tout les profs aident, personne aurait divine que Poudlard serait un champ du bataille. Les élèves ne pourrant pas s’endormir aujourd’hui la plupart aident aussi en l’infirmerie et ceux que ne peuvent pas aider parlent entre eux de ce qui est arrivé.

Puis de minuit Dumbledor fait sortir à les élèves que ne besoin pas être à l’infirmierie. Aussi demande la presence de Harry Potter, Ronald Weasley, Neville Londubat, Dean Tomas et Genever Weasley, presque touts sont à l’infirmierie et près du lit où se trouve Luna Lovegood.

-Comme-t- avez-vous su ce que se passerait dans la salle commune du Serdaigle ? leur demande le profeseur Dumbledor. Les élèves se regardent uns à les autres. Aucun d’eux savent que dire.

-C’était moi, dit Ginny et ajoute. J’ai su que aujourd’hui ceux qui ont tué à Cho Chang …veulaient faire le même à Luna, c’est tout.

-Non, ce n’est pas tout, comment avez-vous apprit ça ?

« -…….quand te demandent qui t’a envoyé tu devrait dire que l’ange du Dublin si celui qui enttende ça et dit mon nom complet le nom que tu sais, alors tu le peux raconter toute l’histoire de commen tu et tes frères ont cache un bébé sinon tais-toi… » les paroles d’Agnes revinent à elle alors Ginny leva sa tête et dit-M’a envoyé l’Ange du Dublin, celui qui m’a dit tout.

Albous Dumbledor ne peut pas croire ce qu’il vient de entendrer et dit par lui-même en voix haut.

-« Agnes O’toole ? » Albous Dumbledor hocha sa tête et repete mais cette fois lui donne face à Ginny Weasley « est-ce que tu as dit que Agnes O’toole t’a envoyé ? »

-Oui profeseur, et elle m’a dit que le raconte tout. Neville regarde inquiet à Ginny et Ginny ajoute. Neville est-ce que tu te rappel de ce drôle histoire d’Ange du Cordoba ? Neville acquieça, bon Neville cet après midi j’ai su que la plupart du temps j’ai parlé avec l’Ange du Dublin sans le savoir, maintenant je sait que tu, Pansy et ton bébé sont en péril. Neville regarde à Ginny, il sait bien que Ginny ne fairait pas une blague et sur tout avec tout ce qui est passé, Neville commence à comprendre….

Ginny, Neville et Ron fassent un rapport de tout ce qui est passé. Albous Dumbledor les enttende à côte d’Albus Minerva Macgonagall les enttende aussi, elle est la seul professeur qui se trouve dans l’infirmerie, les autres prof sont avec les élèves pour les calmer. Albous et Minerva parfois se regardent un à l’autre tandis les adolescents parlent. À la fin du rapport Albous leur dit »Bon elle a été une longue nuit, vous serez épuises,..il sera mieux que vous essaye de vous endormir.. » Albous Dumbledor et Minerva Macgonagall les fassent coucher dans l’infirmerie. Chaqu’un a une lit pour eux, Harry ne laisse pas de regarder Ginny, Ginny a demarré son regardeur et le laissa à côte d’elle, personne pourait savoir où se trouve elle .

Neville regarde le toit, L’Ange du Cordoba L’Ange du Dublin, la mort de Cho, Parce qu’ils veulent assassiner à ton bébé pour ça ont tué à Cho, ils ont cru que Cho était enceinte mais non Neville ils recherchent à ton bébé, ils veulent la tuer, ils croient aujourd’hui que ce Luna la fille qui est enceinte pour tant ils vienent pour la tuer et la que suive sera Pansy. Bouges –toi !.Personne pourra prendre la place de Ginny Weasley ; si elle n’est pas la marraine, personne, elle a fait un long voyage seul pour l’avertir du péril ; il ne veut pas voir souffrir Ginny.

Il y a une fille que boite que regarde tout autour d’elle, elle a peur, elle ne connaît personne et elle sent comme les autres regardent sa patte d’oie, elle n’aime pas sa patte.

ATTAQUE À POUDLARD
CROSS-OVER (4EME PART)
Poudlard se reveille d’un long cauchemar. Aujourd’hui les élèves n’auront pas des classes, dans les jardins on peut voir à touts les élèves que n’ont pas reçu aucune blessure. Près d’une fontaine Justin Finch, Zacarias Smith et Michel Corne parlent de la nuit dernière. Justin fixa son regarde en une fille qu’il n’avait pas vu avant, cette fille semble un ange, bon ! il pense qu’elle est un ange…, elle a un visage parfait, soudain cette fille leva sa main gauche et il semble qu’elle donnera un coup sur l’eau et Justin fait un movement pour se garder de l’eau qui sautera, ses compains le regardent et se protegent aussi, la fille semble ne les donne pas aucun attention, cette même fille quand regarde que puis du coup sur l’eau n’avait pas arrivé rien mit son doig dans l’eau et l’eau fait des ondes comme l’eau normal, cependant elle essasie frapper plus fort l’eau une fois en plus et l’eau ne sauta pas, l’eau ne fait rien, tout ça les regardent Justin, Michel et Zacarias sans comprendre qu’elle veut faire, est-ce que cette fille est folle? En ce moment arrive la professeur Macgonagall et le dit à cette fille.

-Miss Mén…desss, Méndesse

-Méndez, lui reponde la fille que ne se tourne pas pour la regarder, elle voit seulement l’eau.

-Miss Méndez, le professeur Dumbledor a fait fermer tout comunication pour l’eau, a fermer aussi les miroirs et les murs.

-Pou koi ?!!!!!!!!, lui dit la fille que cette fois tourne pour voir à la professeur

-Parce que vous êtes ici, au moment qu’il a su sur votre arrive il a fermé touts ses voies….et ajoute la professeur.. Son père est au courant que vous êtes ici, n’inquietez pas.

La main de la fille egratigna l’eau et cette fois les traces sur l’eau se restant, puis la fille regarde encore Macgonagall et la professeur ajoute.

-Il sera mieux que vous vous rendre encore à l’infirmerie, vous devrez garder lit. Cette fille obei en silence, elle ne donne pas attention à Justin ou Zacarias, elle se dressa à l’infirmerie, alors cets élèves remarquent qu’elle boite et sa robe d’hôpital dit pour quoi elle boite. Touts les élèves que regardent l’scene et se restent mutes c’est horrible « Une patte d’oie-rose, mince et ridée -». Elle marche vers l’infirmerie, elle est habitue à que la gens parle derrière elle.

La main droite d’Adonají Méndez est garde sur draps, elle le donne douleur encore. Adonají se trouve assise sur la lit. Madame Pomfresh s’approche à elle et le caressa sa tête, Adonají regarde à celui qui la caressa.

-Bon jour petite, comment-tu t’appelles ? lui dit Madame Pomfresh et lui sourire puis
-Adonají Méndez
-Comment ?
-Dona, tout le monde m’appelle Dona.
-Moi-aussi ?
-Oué, bien sûr !
-Dona, laisse-moi voir ta main. Dona donne sa main et Madame Pomfresh sorte les draps. La main de Dona n’a pas un bon aspect. Et madame ajoute, ça te donnera douleur, lui averti, puis jetta un liquide orange épais. Dona couvre sa bouche avec sa main gauche, elle ne veut pas crier encore, parce qu’elle sait bien que si elle crie la plupart des élèves auront une crise de nerfs aussi que Madame Pomfresh. Ainsi Dona endure la douleur, puis Madame Pomfresh lui couvre encore sa main. Le cœur de Dona batte vite pour la douleur autant qu’elle ne remarque pas que les mêmes éleves qu’elle a vu dans le jardin se trouvent à l’infirmerie. Justin rende visite à sa petite amie Karla Pits. Dona se laissa tomber au lit dont ses cheveux longs et noirs tombent libres, ses cils longues et frisées cachent ses yeux fermes, elle est pâle comme un nuage, le bruit des jeunes qui se trouvent prés d’elle fait qu’elle ouvra ses yeux noirs, au moment elle cache sa patte et les donne dos, elle ne veut pas les voir.


Ginny et Neville s’approchent au lit de Dona à fin de savoir comment-va elle. Dona sent comme qq’un caresse ses cheveux, c’est la main de Neville. Neville sait que grâce à elle Luna est sauve et aussi Pansy et sa bébé, c’est vrais parfois de ceux que nous n’attendons pas vient le faveur demande, ce le cas de Dona une fille tellement inconnu pour lui. Quand Dona ouvre ses yeux elle regarde Ginny et Neville que lui sourient.

Dans la forêt interdite (1)
Deux jours après Dona Méndez et Ginny Weasley prendent classes au Poudlard. Pour le péril qui est qu’elles se rendent encore au Châteauloin elles prendent classes ici. Ginny Weasley n’avait pas pensé se rendrer encore au Poudlard cependant elle est ici. Dona est habitue à que tout le monde parle derrière elle cependant aujourd’hui qu’elle et Ginny se dressent au salon de Metamorphose les paroles d’une fille le blessent son cœur, Ginny n’avait pas entendu rien parce que sa tête est à côte du Richard elle ne peut pas penser en autre chose. Ceux qui parlent sont Karla Pits, Justin Finch, Pamela Philipps, Diane Pitersons, William Sommers et Gregory Ambers et ce qu’ils parlent blesse le cœur du Dona qui parvient à les entendre.

-Cette fille me donne peur, dit Pamela

-elle est un monstre, dit Diane

-Pauvre, dit Gregori

-Je ne sait pas pour quoi une chose ainsi prende classe avec nous.

-Si la mère de Malfoy l’aurait tué, elle l’aurait fait un faveur à cette fille parce que vivre ainsi.. je ne sait pas comme elle peut je ne pourrais jamais supporter ! Pauvre ! dit Karla.


Pour quoi l’aurait fait un faveur la maman de Malfoy ? Un monstre ? Dona a voulu aider seulement, elle se mordre son lévre inferieur, jetta un regarde froid à Justin et suive son chemin. Pauvre ? Parfois si, elle n’a jamais aimé son patte d’oie, mais elle ne sait pour quoi tout le monde veut se le rappeler chaqu’instante. Elle haïs aussi le miroirs, parce que le miroirs montrent une figure que ne corresponde pas, il serait plus logique une figure laid avec une patte d’oie, elle haïs sa figure, elle s’imagine une photo dont on peut voir seulement sa figure sans jamais imaginer les rest de son corps Pauvre ? Si. Quand la profeseur Macgonagall arrive au salon, elle demande à ses élèves qui sortent ses baguettes pur faire un exercise, ils devront changer un livre en une colombe, la tête de Dona est remplie de douleur, elle se mit debout et dit en voix haut « YO QUIERO QUE TODOS SUS LIBROS SE CONVIERTAN EN CUCARACHAS, PARA QUE QUIEREN LIBROS SI NO LES SIRVEN PARA NADA. AHORA VAMOS ! » les livres de touts les élèves disparaîtrent et en lieu de livres un million des blattes sortent de tout endroit, Dona Méndez regarde comme touts les élèves sortent tout à coup du salon, seul Ginny et la professeure Macgonagall se restant. La profeseure Macgonagal ne peut pas parler parce qu’elle est si gênée, Ginny regarde Dona que dit en voix haut.

-Pour quoi les apprit vous la magique et ne les apprit vous à avoir de la tolérance avec les autres ? Dona Méndez pleure de rage et sorte du salon. Si à tout le monde le vexe qu’elle boite, elle claque plus fort pour défier au monde. Ginny essaie la suivre mais Dona se tourne et lui dit « RESTE-TOI LÀ, JE NE VEUX PAS VOIR PERSONNE » Ginny s’arrêta, pour quoi Dona est si fâche ? Est-ce que qq’un l’a fait du mal ?


Tout la journe Dona n’a pas donne face, elle s’est caché. Elle s’est dressé vers la forêt interdite, elle marche seule et triste, elle a un grand noue dans sa gorge, elle marche et marche, puis d’un heur elle s’appuie sur une pierre, prende son ciseaux et autour d’elle fait un grand cercle et se pencha à pleurer. Les rayons du soleil se coulent timides entre les haut arbres, elle sanglote avec tant de douleur que n’entende pas les sabots. Elle pleure, ce moment est casse pour une voix.

-Euh… toi ! c’est une voix d’homme. Dona tourna et ce qu’elle regarde c’est quinze centaures qui sont autour d’elle et le menacent.

-Nous devons la tuer ! dit un d’eux, Non nous devons la arracher aux cheveux jousqu’au debut de la forêt, dit un autre. Non, il sera mieux.. ! en ce moment Dona les dit.

-Pour quoi non essaie d’abord casser le cercle, les défie.

-Auh.. courageuse, n’est pas ? Nous verons.. Un de centaures se lança sur elle, cependant comme si autour de cercle aurait un mur invisible il se trompe. Mer..de ! Est-ce que se passe, dit le centaure.

-Bon je ne vous ai rien fait ! Pour quoi vous voulez me tuer ?

-Courageuse la sorcière !

-Laisse-moi je ne vous ai rien fait !

-Tu ne me dira pas ce que je doit ou non faire envers toi !

-J’ai une nouvelle pour toi, comme touts les êtres dans le monde j’ai une place, je suis ici et je n’ai rien fait pour déranger. En ce moment Dona s’assise sur la pierre et laisse voir sa patte d’oie. Les centaures la regardent et Dona se cache sa patte avec sa longue robe et se tourna pour ne les regarder pas tandis grandes larmes se glissent sur ses joues.

-Est-ce que qq’un a jetté un sortiliège sur ton pied ? lui crie un centaure

Dona ne reponde pas.

-Est-ce que tu est sourde aussi ? lui crie le même centaure

Dona le dresse un regarde froid et lui dit

-Tu n’est pas gentil ! Si tu veux que qq’un te donne reponse pour quoi n’essaie être gentil !

-Auh… pardonne demoiselle ! Est-ce que qq’un a jetté un sortiliège sur vous ? lui dit le même centaure avec une voix faussement douce.

Dona le regarde avec rage et lui reponde.

-Non, j’ai née comme ça, ça te plaît ! Dona laisse voir sa patte, ça te plaît ? Reponde-moi ça te plaît ?

-Non, ne me plaît pas ! le dit le centaure. Pour quoi est-ce que tu as née ainsi ? lui demande plus tranquil le centaure.


-Parce qu’ont tué à ma mère quand elle était enceinte de moi, alors j’ai née comme ça! Les dit Dona avec ses yeux remplies des larmes et ajoute. Je suis un monstre.

-Non tu n’est pas un monstre, tu es diferent !

-Je ne le fais pas mal à personne ! Pour quoi vous voudriez me tuer ? les dit Dona.


-Je ne veux pas te tuer ! Pour quoi tu as des draps dans ta main ?

-Parce qu’une femme m’a blesse avec une dague ?

-Mais pour quoi ?

-Parce qu’elle a voulu me tuer ?

-Ce pour ça que tu pleures?

-Non, je pleure parce que tout le monde croie qu’il aurait était mieux qu’elle m’aurait tué !

-c’est moche ! Tu as faim ? lui demande le centaure.

Dona acquiesça, cependant elle se mefie d’eux.


-N’a pas peur lui dit le centaure, qui se pencha pour la regarder mieux. Comme Dona a plus de faim et froid elle efface une côte du cercle et sorte. Tout les centaures sont en silence. Suive-moi, lui dit le centaure, comment-tu t’appelles ?

-Adonají Méndez, On me dit Dona ! lui dit avec une grande sourire Dona. Comment tu t’appelles ?

-Bane. Bane regarde la sourire de Dona, Dona a une visage si jolie, elle est………….

Dans la forêt interdit II
Dans la forêt où se trouve le campement des centaures, les femelles et les portées jouent. Les males arrivent avec une invitée Dona Méndez. Ici le donne un peu de nourriture et commencent à bavarder chaqu’un de son monde. Il y a une chose que Dona Méndez a et il est savoir donner amour , elle fait amitié avec les portées. La nuit commence a donner son visage remplie des étoiles et une lune en argent pur. Au campement arrivent un group des lutins qui se dressant chez eux, cependant pour le commerce ils traversent le campement des centaures pour le trocs des articles ainsi Dona fait la connaissance de Runi, Titi, Sany et Cuf quatre lutins du bois que l’invitent a prendrer le petite déjeuner pour le lendemain et Dona accepta. Dona n’avait pas imagine faire tant des amis dans un jour. Puis de dîner les portées apprit Dona comme monter un licorne, elle n’avait pas monte un et le licorne se laisse toucher et monter gentil. C’est un voyage superb ! Le vent caressa son visage et joue avec ses cheveux, les portées fassent un signe pour s’arrêter puisque donner un pas en plus est dangereux parce que puis de cette ligne ce le territoire des harpies. Les portées, le licorne et Dona se penchent pour les regarder ; elle sont moches et sinistres, leur peau bleu et ses yeux jaunes les donnent un air si méchant. Puis d’un pair des minutes touts reentrent au campement. Dans le campement la gardent.

La matin arrive avec les joli chante des oiseaux, Dona ouvre ses yeux et regarde devant elle le grands et bruns yeux du Cuf que lui dit.

-Depeches-toi !

-Oui Monsieur!

Dona s’enrôle vite pour se rendre au petit déjeuner chez lutins. Cuf l’emmena pour le bois tandis parlent des diference entre les lutins de la forêt interdite et les lutins de son pays, elle arrive à un campement plus range que celui des centaures, elle n’avait pas pensé que les lutins habitent avec tant luxe, si bien chez eux tout est petit tout est décore d’une façon exquise. Et elle doit admettre que la soupe des champignos est superbe.

Au campement des lutins arrive le même licorne que Dona a monté hier soir. Dona lui caresse et lui appelle Xavier, Xavier comme son père, il semble que le licorne aime bien ça parce qu’il se laisse monter encore. Dona et Sany montent au licorne, Sany lui apprit où se trouvent les fées. Dona et Sany descendent et regardent les arbres remplies de petites fées, comme cristals qui dancent dans les arbres les fées sont là. Sany lui dit à Dona.

-Ton visage se semble beaucoup aux visage d’elles, cependant tu n’est pas moche comme elles.
-Est-ce qu’elles sont moches ? lui dit Dona toute étonne.
-Oué, elles se vantent de tout, elle se croient le plus beau du monde.
-Elle fassent commerce avec vous comme les centaures ?
-Oué, ce pour ça que nous somme ici.
-Quel sera le troc avec elles ?
-Marmelade
-Marmelade ?
-Oué, nous les donnons fil, aiguilles et épices. Et elles nous donnent marmelade et poudres magiques !
-Waouh !.. Ici c’est un monde dedans un monde! Lui dit Dona.

Dona regarde commes le lutin fait commerce avec les fées. Une des fées la regarde et demande à Sany sur elle. Sany lui raconte comme est que Dona est arrivé au forêt. Dona laisse qu’ils parlent, elle se contente caressant au Xavier le licorne. Xavier et elle marchent près d’eux, comme Dona n’est pas monte sur Xavier elle laisse les traces de son pied et sa patte sur la neige de cette façon les fées remarquent que Dona n’est pas comme les autres élèves au Poudlard. Vingt fées le fassent cercle à Dona pour la regarder mieux. Les visage des fées sont si jolis cependant comme toutes elles veulent parler au même temps Dona ne les peut pas comprendrer. Sany appelle à Dona il est temps pour se rendrer encore chez lutins. Xavier, Sany et Dona reentrent au campement. Comme les lutins sont si amusants et ils savent un bon tas des plaisanteries Dona se resta tout le jour avec eux. Près de l’heure de dîner Ronan un des cetaures les rende visite, il veut parler avec Dona.

-Salut petite comme-va toi ?

-Bien merci Monsieur !

-Tu dois savoir que presque tout Poudlard te recherche, je ne sait pas comment ils ne t’ont pas repéré,

-Auh. Je me jette un sortièlege desenchante.

-Bon… tu dois te rendre au Poudlard.

Les yeux de Dona se tournent triste encore. Ronan lui sourire et lui dit.

-D’accord un jour en plus et c’est tout

Dona ne veut pas se rendrer encore au Poudlard elle est bien ici.

-Dona je sait qu’ils meritent s’ inquieter un peu puis de ce que t’ont fait, mais tu est une élève au Poudlard tu dois t’y rendrer encore.


-Cuf m’a promit m’entraîner au match de quiditch !

-Oué, tu sait où, interrompre Cuf. Ils pourront regarder le match sans être remarquer pour personne. Puis demain ne soyez tort.

-Oué, d’accord, mais puis tu te devra rendre encore à l’école. Et je dis ça parce que je haïs ce que t’ont fait, mais ce dangereux pour tout ceux que te recherchent, imagine qu’uns d’eux soit perdu à cause de toi, ils sont moche et le meritent cependant tu n’est pas comme eux, c’est claire petite ?

-C’est claire Monsieur !

Dans la forêt interdit III
Le lendemain presque tout le campement de lutins sortent vers l’haut du forêt pour regarder le match de quiditch entre Gryfondor et Poufsouffle. Xavier suive à côte de Dona. Dona porte une manteau qui lui ont donné les lutins pour se garder du froid. Dona partage son sandwich avec Xavier. On doit admettre que le match ce jour était ennuyeux pourtant Dona se content avec les plaisanteries des lutins qui la amusent beaucoup. Puis touts se rendent encore au campement dont Lux, Ronan et Banen attendent Dona pour l’entraîner au leur campement. Dona et le licorne Xavier les suivent. Avant de partir Dil un de lutins lui donne une layette avec produits. Dona a était seulement un jour avec eux et elle s’a gagné son cœur aussi le cœur des centaures. Toute la nuit elle a joué avec les portées et Xavier.

La matin arrive et avec elle le retourne au Château. Dona prende le déjeuner avec les centaures, elle est triste et ça le regarde Ronan.

-Bon petite tu sais bien que tu ne te peux pas rester ici n’est pas ?

-Je le sais, seul que vous étiez si jolis ….

-Petite, tu sais dont nous sommes, alors tu nous peux rendrer visite, Cuf, Titi et Sany t’aime beaucoup.

-Petite, tien , lui dit Bane qui lui tiende un espece du collier que Dona prit. Bane lui aide à y marrer à son cou. Est-ce que tu sais Petite, elle est la griffe d’une harpie que j’ai vaincu il y a 15 années,… les fées m’ont aide à le monter dans un collier. Dona regarde le cadeau et lui donne un bisou sur la joue de Bane. Bane rougit.


Puis de petit déjeuner un group des centaures partent du campement avec un licorne et une fille que a une patte d’oie. La fille monte sur le licorne Xavier, elle porte un mateau cadeau lutins, un collier cadeau centaures et une layette avec produits des lutins et fées, trois fées reencontrent le group et essayent parler avec Dona mais comme les trois fées parlent au même temps Dona ne les comprit pas, elle semblent cristals d’hiver, Dona pense qu’elles sont si jolies. Xavier le licorne marche content parce que Dona lui entoure son gros cou. Quand le group est près du limite Ronan dit au group.

-Bon petite, à bientôt ! et je te dit à bientôt parce que je sais que tu nous rendra visite.

-Bien sûr Monsieur, Merci à tous… Je les aime. Le lèvre inférieur de Dona tremble, Dona sait qu’elle sanglotera si elle ne parte tôt, ainsi que dit à bientôt et parte avec son lévre inferior tremblant et un noue lourd dans sa gorge…….

Xavier l’emmena au Château, tout le deux entrent jousqu’au jardin, ici le licorne se pencha pour laisser descendre Dona. Tout le monde les regardent, Dona caresse au licorne et le dit à bientôt aussi, Xavier se perde dans la blanche neige. La noues main du profeseur Rogue la sorte de sa joie.

-Vous êtes une irresponsable !

-Mais je ne suis pas méchante comme tout vous !

-De que vous parlez ?

Dona le défie avec son regard dur. Le profeseur Rogue l’emmena au Direction. Ils marchent pour les couloirs dans un d’eux Dona voit Justin et le dressa un regarde assassin et lui dit.

-Auhh.. Justin tu sera deçu de que je ne sois pas morte, un monstre comme moi ne merit pas la vie. Dommage je suis vivant ! Encore au Poudlard ou est-ce que les monstres ne meritent pas les études Justin ?

Justin bas sa tête, il sait bien quelle est la cause de la disparition de Dona.

Dans la direction le profeseur Albous Dumbledor la reçoi. Dona voit qu’il est un endroit agréable. Albous Dumbledor la indiqua où elle se devra assise.

-Miss Méndez est-ce que vous savez le péril que vous avez couru et le péril que vous avez fait courir à touts les autres ?

-Oui Monsieur Ronan me l’a dit.

-Ronan, le centaure ?

-Oui Monsieur.

-Est-ce que vous savez le péril d’être à côte des centaures ?

-Personne peut courir péril si un est gentil avec eux.
-Et le péril que tout les autres ont couru pour vous ?
-Si tout les autres pensent que je suis un monstre et pourtant je merit la mort pour quoi rechercher un monstre ?
-Qui l’a dit ça?
-Justin Finch, dit le profeseur Rogue que se rappel de ce qu’est arrive il y a un pair de minutes.
-N’importe pas qui, parce qu’il n’était pas seul ce jour. Et ce qu’il pense ou ses amis aujourd’hui ne me regarde pas.
-Profeseur Rogue s’il vous plaît Justin Finch !
-Non, je ne veux pas voir à ce garçon!
-Qq’un que dit un chose comme ça merit une punition n’est pas Miss Méndez ? lui dit le profeseur Rogue.
-Est-ce qu’une punition peut changer ce qu’on garde dans le cœur ? lui dit Dona
-Comment ? lui demande Rogue.
-Si, si vous le puni, ça faira changer ce qu’il garde dans son coeur? Je ne veux pas une punition pour eux.
-Vous êtes sûre Miss Méndez, lui demande le profeseur Albous.
-Oui
-Vous sera d’accord que vous méritez une punition. Lui dit le profeseur Albous.
-Bon.
-Miss Méndez vous sera en retenue une semaine
-Bon dit Dona que s’avait imaginé une chose comme ça.
-Miss Méndez, j’ai des biscuits aussi. Dona le dressa une sourire, il semble que le profeseur Albous avait parlé avec le profeseur Hook.

Dona sorte de la direction et inmedietement est entoure pour Ginny qu’avait été très inquietée pour elle. Quand Ginny la laisse respirer Dona le donne un rapport de son visite au forêt interdite. Toute le deux dans sa chambre jettant un coup d’œil sur les produit qui l’ont donné les lutins.
-Alors Justin a dit….
-Non seul lui, tout son group.